[Test] Until Dawn : Rush of Blood VR sur PS4
Hey !
Après le test du casque Playstation VR et celui de Robinson : The Journey , voici le test d’Until Dawn : Rush of Blood.
Achetez le.
Fin du test, salut !
BON ça va, je développe. Mais avant ça, éteignez la lumière, voici la vidéo du trailer :
L’histoire :
Il n’y en a pas. Enfin si, mais je n’ai rien compris. Pourquoi je suis dans ce train fantôme, qui est le psychiatre au début et à la fin des différents niveaux, qui sont ces femmes fantômes, j’en sais rien (et si vous savez, n’hésitez pas à me prévenir).
On sait juste qu’on doit déglinguer tout ce qui bouge. Voilà.
Ce qu’il faut faire :
Dans un univers totalement inconfortable de fête foraine « abandonnée », nous voici dans un train fantôme bien flippant. Le but : tuer des clowns et des créatures étranges qui nous sautent à la tête. Simple, efficace.
En plus de ça, des objets cachés sont aussi à dégommer pour gagner encore plus de points (parce qu’à la fin, on a une note et un classement entre amis / mondial).
Pour contrôler ses flingues (vraiment bien fichus de près), on a le choix entre la manette et les PS Move (que je recommande fortement pour ce jeu).
La durée de vie :
Vous aurez besoin d’environ 2 heures pour finir le jeu sans chercher la performance en mode « normal ». Maintenant, on a quand même face à nous un jeu qui propose une grosse partie de scoring (et pas mal de trophées pas forcément évidents à atteindre) donc on peut bien doubler ou tripler le temps passé dessus pour le faire à fond.
Ce que j’ai aimé :
- Avoir peur ! J’ai hurlé tout ce que j’ai pu, en PLS sur le canapé.
- La jouabilité est simple, la visée est plutôt bonne.
- L’univers du jeu en lui même est hyper prenant : l’ambiance est pesante, les graphismes sont bien fichus, la bande son est stressante. Bref, tout est calculé pour qu’on fasse pipi culotte sans se faire mal aux yeux.
- Le jeu n’est pas si simple et on se voit refaire plusieurs fois la même scène pour réussir.
- Le prix : 19€99, c’est vraiment abordable pour un jeu de cette qualité.
Ce que j’aime un peu moins :
- Les couches et les pastilles pour la gorge ne sont pas fournies avec le jeu (et j’en aurais bien eu besoin).
- Un peu d’envie de vomito sur certains passages (aucun effet sur moi, mais les amis qui l’ont testé à la maison ne se sentaient pas forcément tous bien dans les montagnes russes).
- Pas d’histoire (facile à comprendre) à suivre. Ok, OSEF, c’est pas le but du jeu, mais c’est toujours bien de savoir pourquoi des clowns veulent nous tuer.
Enfin, je vous l’avais annoncé dès le début de l’article, j’adore ce jeu. Il fait partie, selon moi, des jeux à avoir quand on a le VR à la maison.
On retrouve une atmosphère pesante, une envie de tout éclater, des jump scares (un truc qui arrive sans prévenir face à nous) bien pensés et flippants… bref, tout est réuni pour passer un bon moment. C’est bête mais j’ai ultra peur et j’y retourne encore et encore.
J’ai d’ailleurs compris grâce à ce jeu que j’avais des réactions complètement débiles : lorsque quelque chose m’arrive devant sans prévenir, je me cache les yeux. C’est con hein, ça sert à rien, y’a le casque devant. Que voulez vous.
Parents, attention, ce jeu est en PEGI 18 et en effet, je ne le recommande absolument pas à des enfants (ou alors, c’est que vous n’avez pas envie de passer des nuits tranquilles).
À très vite pour un prochain test : Brookhaven Experiment VR sur PS4 😉